mercredi 16 décembre 2009

Four, three, two, one…

Ignition… Bon, le taxi est commandé, les valises faites (sauf la mienne… mais j’ai encore un peu de temps…), le disque dur sauvegardé. Il n’y a plus qu’à attendre l’heure. Attendre. Combien passe-t-on de temps à attendre lorsqu’on voyage ? On double facilement son temps de voyage en attente…. C’est ce que je déteste le plus dans les voyages, l’attente. Et les valises… - non mais vas-tu arrêter de te plaindre ? - non. - non ? - non, pas tant que ma valise n’est pas faite… - … - pas tant que nous ne sommes pas arrivés. Pas avant demain donc. Pas avant demain pour une première escale à Santiago. –30°, il parait qu’il neige en France ? … - des baffes virtuelles ! - Demain Santiago, hôtel, pisco sour (dire : sawère), piscine… et vendredi, Punta Arenas, plus de net ! Heu, oui, il y aura coupure momentanée des programmes de ce blog pour cause de non pré-postage de billets écrits à l’avance, en raison de ma fainéantise aigüe. Par ailleurs, les douze personnes qui me lisent seront elles-mêmes en vacances, et j’ose espérer, auront mieux à faire qu’à trainer sur le net… Donc, on se dit « Joyeux Noël »… que le père Noël remplisse vos petits souliers de tout ce que vous avez commandé, et à l’année prochaine pour la suite des aventures rocambolesques de ce blog. (en consolation, surveillez la colonne de droite, l'histoire sans parole sera certainement alimentée...)

mardi 15 décembre 2009

Un sac pour voyager

Je dois tenir ça de ma mère. Je crois. Je crois qu'il lui est souvent arrivé de s'acheter un sac, juste avant de partir en voyage... Peut être pour exociser le stress ? Le choix du sac pour voyager (prendre l’avion, le train, la voiture, voire le métro) a toujours été un choix délicat dans la famille. Idéalement, il doit être grand (on pense Paraty, José (feu création dreyfuss), Mahina xxl…), mais pas trop (argh ! exit ces trois là alors…). Il doit pouvoir se porter à la main, au coude, à l’épaule et en bandoulière. Car pas question d’avoir une main monopolisée par un sac quand il s’agit de donner la main au Petit et au Grand, tout en tirant la valise à roulettes. Encore moins question d’avoir un sac qui glisse de l’épaule à chaque pas pressé que l’on donne lorsqu’on arpente les aéroports. Il doit pouvoir s’ouvrir d’une seule main, et aussi se fermer rapidement… Il doit être plutôt foncé (les aéroports, les gares, y’a rien de plus sale…) sauf quand on va vers l’été… Quel abominable casse tête. Ça fait des jours que la besace Darel m’obsède (oui, je sais, un rien m’obsède) (et oui, je sais aussi qu’il y a des préoccupations bien plus obsédantes, que les gens meurent de faim, et que la planète se réchauffe, enfin, pas trop en ce moment… mais c’est une autre histoire). J’avais prévu d’aller la tâter au Printemps, voire de craquer si l’animal s’avérait absolument parfait… C’était un peu ma récompense à avoir fini mes bagages… (même, s’il me reste encore une valise à faire…) (mais j’ai encore le temps, on ne part que demain soir…) Bref, peu importe. Besace en ligne de mire dès potron-minet, tant pis pour la valise… Alors voilà, elle est là, en marine, et en une espèce de vieux rose. Pas de marron, pas de vert, pas d’autre matière que ce cuir « Salvador » qui marque au moindre passage d’ongle (et qui craindrait la pluie qui plus est…). Elle est pas mal, mais. Il y a un mais. Un indéfinissable mais, qui fait qu’elle me semble trop grande, je me vois y cherchant la tête la première, en apnée, un hypothétique stylo. Elle est trop mole, pas assez structurée… et puis le rose est moche, et le marine ne me convainc pas. Alors je pars. J’appelle mon c&t : - je suis sur le parking du centre commercial… - ha… oui, mais, non, je n’ai besoin de rien. - j’ai acheté des lunettes pour le Grand, et des basquettes à sa taille… - ha, bien… - et j’ai aussi pris de la protection solaire… - ha, très bien ! - et là… - oui ? - là je me demandais si j’allais ou pas m’acheter une besace pour voyager demain soir… - et elle coûte combien ta besace ? - …520... - ils font des trucs si chers que ça à ce centre commercial ? - sgroumph… - si elle te plait, prends là ! - mais je ne suis pas sûre qu’elle me plaise… - ne la prends pas alors ! - ça ne m’aide pas… - fais comme tu veux… - non, je crois que je vais rentrer. Je vais réfléchir jusqu’aux soldes de janvier, et si elle me plait encore, alors, je l’achèterai… mais je ne sais pas de quelle couleur… - bon, ma chérie… tu sais, j’ai du travail là… - ah… oui… c’est vrai. Cela dit, pour le moment, rien n’avance… (et à continuer d'y penser, cette besace continue de m'obseder... !)

lundi 14 décembre 2009

Valises

S’il y a quelque chose que je déteste par dessus tout, c’est bien de faire des valises. S’il y a bien quelque chose que je déteste aussi, c’est de défaire les valises.
Et en ce moment, j’ai vraiment l’impression de faire ça bien trop souvent.
- Plains-toi ! Si tu as des valises à faire et défaire c’est que tu pars et reviens de vacances… Pense un peu à ceux qui ne peuvent pas en prendre…
- Et pense à ceux qui libres comme l’air, partent avec leur brosse à dent dans la poche… ceux qui sont capables de partir de la sorte… Alors que moi, je ne peux m’empêcher de partir avec la moitié de ma maison. Même pour aller faire des courses il me faut un sac à main immense. Même pour aller déposer les enfants à l’école, je ne peux sortir sans mon minimum vital… Je transporte des tonnes juste pour quelques heures alors pour quatre semaines…
- Dis moi Kabo… tu ne serais pas en train de nous dire de façon détournée que tu pars en vacances pendant Quatre Semaines ?
- Heu... si un peu…
Il n’en reste pas moins, qu’il faut que je fasse les valises… La mienne, celle des enfants. Le c&t se gère tout seul. Faire sa valise lui prend vingt minutes. Un mec quoi !
Moi… Moi, je commence par tout ranger. Ça me prend des heures… et seulement après, je sais ce qu’il faut que j’emmène. De toute façon, j’en emmène toujours trois fois trop. La dernière fois que je suis partie à Mes Vieilles Pierres avec les enfants, je n’ai pas mis la moitié des fringues prévues. Au cas où il pleut, au cas où il neige, au cas où il y aurait du soleil, un cataclysme, une épidémie de grippe, un tremblement de terre, une inondation… Parce qu’on ne sait jamais… des fois que les petits hommes verts arrivent et nous prennent en otage… des fois que…
Moi… moi je procrastine… c’est mon truc. Là par exemple, je pourrais, devrais être en train de me concentrer sur le placard des enfants, calculer le nombre de slips, ne pas oublier les maillots de bain… Mais non, là, je tape mon petit billet du jour. Juste pour ne pas faire ce que je dois faire, là tout de suite… Juste pour repousser un peu le moment, juste pour faire monter la pression, parce que je suis plus concentrée quand j’ai la pression… Parce que si je ne fais pas ces valises aujourd’hui, je serais dans la mouise demain s’il me manque quelque chose… Parce qu’une nuit supplémentaire sans dormir me fera certainement mieux dormir dans l’avion et mieux gérer le jet-lag… Parce que… je suis une grosse feignasse ! Et que je voudrais tellement croire qu’elles vont se faire toutes seules ces valises…
- Allo ? le père Noël …

vendredi 11 décembre 2009

Deux choses

La première c’est que me voici revenue parmi le virtuel. Finalement les choses à faire se font pour peu qu’on s’y mette (la palisse, sort de là !). La deuxième, c’est que pour me féliciter du travail accompli (ou alors serait-ce pour me donner du cœur à l’ouvrage ?) je me suis récompensée d’une paire de bottes à talon. A talon !! Sept centimètres. De la gnognotte, mais c’est un grand pas pour la femme que je suis après 6 ans de marche-à-plat. Alors, comment je me sens ? Plus grande ! Certes ! Les gens sont petits à coté de moi. Surtout les femmes. Je ne m’en rendais pas compte avant. J’ai l’impression d’avoir la démarche plus assurée, de moins trainer des pieds…. C’est comme si de prendre un peu d’élévation me donnait des ailes. Ou est ce le sentiment libérateur d’avoir rendu ma copie ? Un peu des deux probablement ! Corolaire de la première chose : je n’ai plus qu’à écrire la suite, enfin tout le reste… mais pour cela j’ai un tout petit peu plus de temps… Corolaire de la deuxième chose : j’ai vu une paire de Free Lance… rouges… avec une rose brodée sur le talon… Petit papa Nöel… si jamais tu passes par là, n’oublie pas que je chausse du 39.

mercredi 9 décembre 2009

Objectif

J’ai un truc à finir. Un truc à écrire. Je ne compte plus les jours, devenus semaines, que ce fichier est ouvert sur mon bureau. Les feuilles s’étalent parfois sur la table de la cuisine, le stylo rature, le clavier reprend, copie, colle, supprime et recommence. Je n’ai pas encore eu deux heures d’affilées à passer dessus. La plus part du temps en raison de prétextes plus ou moins valables. Le reste de temps en raison de ma flegmagite aigüe qui saisit la moindre occasion pour me détourner de ce qui doit être fait. Je suis la reine de la procrastination. Alors avant de me faire encore d’avantage déborder par les préparatifs de bagages et autres emballages de Noël, avant que les prétextes bidon se muent en vraies raisons, il est grand temps de finir ce que j’ai commencé. Il est grand temps de finir ce qui est commencé pour enfin passer à autre chose, à la suite. Alors tant que j’écris là-dessous, je risque de ne pas trop écrire là-dessus…. Tenez vous le pour dit, et à très bientôt.

samedi 5 décembre 2009

Les temps mouvementés

Les enfants sont une source de joie permanente. L’école est une source de joies permanentes... sauf… Sauf quand la maîtresse du Lion King vous convoque pour vous expliquer que soudain, votre enfant est devenu « ingérable », « terrible », « transgressif »… Et ce, depuis l’arrivée d’un nouvel enfant dans la classe. Un nouveau petit garçon muni d’une forte personnalité. Forcément, le Lion King se mesure… Etat de crise à la maison : « tu lui passes tout… - oui, je sais… - et après tu lui cries dessus… - mais c’est qu’il m’énerve à la fin à ne jamais obéir, à toujours défier ! - tu es inconstante. - oui, et imprévisible. Le ton monte, on fini par s’engueuler. - à quatre ans, c’est normal pour un petit garçon d’être un peu agité… - il n’est pas qu’agité, il n’écoute rien, il se met en danger… Et me voilà encore à me prendre la tête. Qu’ai-je raté avec lui que je n’ai pas raté avec le Grand ? Pourquoi ce qui marche avec le Grand ne marche pas avec le Petit ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi !!! Je suis à bout, je n’y arrive plus. Je ne crois pas particulièrement aux pédopsys. Je n’ai pas envie de le stigmatiser en le mettant à part à l’école avec le Rased (réseau d’aide spécialisée aux enfants en difficulté… ça veut tout dire…). Une amie me propose son psychomot’, je tente l’appel, ne tombe jamais sur lui, n’ose pas le message. Une autre amie me propose la sophrologie… Pourquoi pas. J’en ai fait moi-même, c’était bien. Je lui fais confiance, pourquoi pas. Reste à convaincre le c&t… Après presque trois semaines en apnée éducative, à la dérive avec mon petit, il a sa séance de sophro. Je m’éclipse hors de la maison. De retour deux heures plus tard, le Petit est métamorphosé. Je ne sais pas ce qu’ils se sont dit avec la Sophro, son frère, une petite copine, peu importe, il règne une nouvelle ambiance à la maison. Une ambiance de calme, de zen, d’amour… ça fait du bien ! Les temps mouvementé ne sont pas complètement derrière nous, mais on aborde une période plus facile. La maitresse ne m’a plus sauté dessus cette semaine pour me raconter les frasques du Petit, je n’ai pas eu à élever la voix à la maison. Même ses dessins deviennent figuratifs et colorés, exit les orages et les tempêtes, on est dans les zèbres et autres girafes de la savane, bien plus pacifiques et apaisés. Pour le coup, moi aussi, je m’apaise.

vendredi 4 décembre 2009

un sourire pour V smile

En cette période hautement compliquée de listes de cadeaux de Noël élaborées par nos enfants à grand renfort de catalogues de jouets et de « je veux ça, et ça et ça et encore ça… », il est plus qu’important de ne pas se perdre pour les parents ou proches de nos chères têtes blondes et brunes.

Pour ma part, j’ai un faible pour les jouets « intelligents », ceux qui font bouger les méninges de nos enfants. Les consoles de jeux, munies de jeux bien adaptés à chaque âge sont un bon exemple de cadeaux « intelligent ».

Il y a peu, mes enfants (4 et 5 et demi), ont eu l’occasion de tester la nouvelle console V-Smile Motion chez une de leur petite camarade déjà gâtée pour son anniversaire.

L’objet ? Une console toute rose posée sous la télé, trouvant parfaitement sa place entre Wii de maman et PS3 de papa. Munie de deux manettes toutes en rondeurs pour droitiers ou pour gauchers (il suffit de tourner la manette), les enfants jouent à découvrir des énigmes, des formes, des couleurs, tout en bougeant. C’est la console V Smile Motion de vtech .

La console vsmile motion détecte les mouvements des bras et des mains des enfants, c’est la « wii des petits », le fonctionnement est intuitif et tout à fait adapté à nos petits génies de 4 et 5 ans. Les enfants jouent aux aventures de Dora, ou de la Maison de Mickey.

Il existe aussi des jeux plus orientés sport, ou mettant en scène d’autres héros de nos enfants aussi connus que Scooby Doo, Kung Fu Panda, wall.E ou Spiderman...

Verdict de l’après midi ? La console étant vraiment adaptée à nos enfants, les mamans ont pu avoir une paix royale pour surfer et papoter autour d’une tasse de thé. Le tout sans culpabilité puisque il s'agit d'une console éducative , les jeux sont éducatifs et non pas débilitants, nos petits apprennent en jouant, et ça c’est le facteur premier d’aise de la mère qui colle ses petits face à la console. De plus, les jeux sont vraiment adaptés à leur âge et leur capacité ce qui leur a permis de jouer sans frustration et donc sans crises de nerfs. Et bien sûr ils ont joué à plusieurs à la console éducative (j’adore ce mot qui me donne l’impression d’être une bonne mère).

Article sponsorisé

jeudi 3 décembre 2009

Murphy


« je vous hais ! »
- oui, je comprends bien, je suis vraiment désolée…
- bon 9h30 mardi, et 10h jeudi prochain…
- ok, merci, et encore désolée
- bon courage…

Six heures du matin, c’est en se levant brutalement que le c&t m’a réveillée. J’étais tellement profondément endormie qu’il n’y avait même pas de rêve.
Le Petit s’est réveillé en pleurs, il a mal à la gorge.
C’est presque sans surprise : quand l’un est malade, l’autre suit. Les médocs sont dans la salle de bain, en rang, dans l’ordre des prises.
39.3°, même punition.
J’appelle le médecin, je vais être à court d’antibios s’il faut aussi en donner au Petit.
Deux heures plus tard, le médecin de garde est là. Il nous fait presque la même ordonnance que
la veille, et est moins radical sur les antibiotiques prescrits « à donner si la toux devenait caverneuse et que la fièvre montait en plateau ». Il me propose une journée « enfant malade »…
J’appelle l’école pour les prévenir de l’absence des loulous. « … et c’est pas trop grave ? » me demande l’autre bout du fil d’une voix suspicieuse. Comprendre « ...est-ce la grippe A, madame ? ». Non, ce n’est pas grave, c’est une laryngite, ou pharyngite virale, je préfère les garder au chaud –et surtout éviter qu’ils en attrapent un peu plus à l’école.
Je souris intérieurement, je pense au conseil de maman pour qu’ils ne soient pas malades avant les vacances : « Mais pourquoi tu les envoies à l’école ? ». Heu… comment te dire maman… Disons, que c’est bien aussi ce qu’ils apprennent, et puis ça me laisse un peu de temps pour moi…
A propos de temps pour moi, j’attends ma femme de ménage pour qu’elle reste avec les enfants pendant que je vais à mon rdv Kiné et fais un saut à la pharmacie. J’attends en vain. Elle n’est pas là à neuf heures, ni à neuf heures trente. Elle ne viendra pas.
J’appelle le kiné pour reporter, avec mes plus plates… Je n’arrête pas de le décommander, il va finir par m’envoyer bouler, mais là j’ai une vraie raison, c’est pas comme si c’était pour aller déjeuner au Train Bleu avec mon c&t… 
C’est pas comme si je voulais aller faire un saut à une vente-privée… Bon allez, je vous assène mon dernier coup de massue : J’ai un carton pour la vp Dreyfuss, je voulais y aller aujourd’hui, voilà, c’est raté. Raté et mal parti pour demain…
Et ne me parlez pas de samedi, mon agoraphobie m’empêche de mettre les pieds dans le quartier le samedi –même si j’apprécie la topologie. (je ne me lasse pas des blagues de Castor)

mercredi 2 décembre 2009

Solidarité

Par solidarité avec les malades de la grippe, nous restons tous à la maison aujourd’hui. Point de mercrethon donc en ce jour. Mais une panoplie d’activités intéressantes et valorisantes.
La journée commence à quatre heures ce matin par une descente tatonesque de l’escalier jusqu’à la chambre du grand qui crache ses poumons en pleurant à moitié au fond de son lit. Toux de chien qui aboie... Le baiser sur la tempe indique une forte fièvre, le thermomètre confirme un bon 39.3°. Crachage de glaires, doliprane, célestène, le cocktail habituel de la laryngite.
Je passe le reste de la nuit à tendre l’oreille. Parfois les ronflements du c&t me font sursauter, non ce n’est pas une quinte de mon Grand, juste mon époux qui dort… (virgule-lui). J’attends le jour pour appeler le médecin. Pourvu que son état n’empire pas d’ici au matin, pourvu que ce ne soit pas la grippe… Je tends encore l'oreille, j'écoute l'évolution. Il ne dort pas bien...
Quand le matin arrive enfin, la fièvre n’est pas encore remontée, la toux est sèche, et les bronches ne semblent pas pris. J’appelle le médecin. Le c&t part travailler. Pas de poney aujourd’hui.
Le médecin arrive, il ausculte mon Grand, écoute attentivement son dos, regarde gorge et oreilles : Laryngite, rien d’autre, rien de plus. « Avez-vous fait vacciner vos enfants contre la grippe ? » - heu… disons que j’ai reçu le papier hier… Il ne fait aucun commentaire. Ne se prononce pas. Quatre lignes sur l’ordonnance –dont des antibiotiques qui ne sont pas systématiques !... et sept minutes plus tard, il ressort de la maison sans me serrer la main (oui, les miasmes…). On sent le côté « débordé » des médecins en ce moment…
Encore deux semaines à tenir. Baisser la tête, enfouir le nez dans l’écharpe parfumée au Pérubore (moins glamour que l’Instant Magique, mais plus efficace contre les virus), éviter les foules, mettre un cierge à Sainte Rita. Eviter la grippe et partir au soleil, après on verra, le pire sera peut être passé au retour. (bin, quoi, j’ai bien le droit de rêver non ?)
Par solidarité avec tous les malades, donc, point de nez dehors aujourd’hui. Disney Play house tourne à plein régime. Sieste de rigueur pour tout le monde. De toute façon, il fait moche, le repos ne peut faire de mal.

Un petit café pour la suite ?

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