(Alors, voilà : à la demande de Madame Kévin, qui n’arrive pas à se projeter, je me lance dans l’analyse… sauf que j’ai tellement de choses à faire, à penser pour ces 4 derniers jours de vacances que je suis incapable de cohérence dans ma pensée... De plus il y a autant de types différents de "mecs de gauche" que d'éligibles dans ce parti... autant dire qu'un seul billet n'y suffirait pas)
Donc, de bonnes raisons de coucher avec un mec de gauche quand on est une femme de droite :
1- Grace à lui, tu as une culture des plus branchées, et tu rencontres des gens extravagants
2- Il se tape comme de l’an 40 que tu gagnes trois fois plus que lui, tu es définitivement vendue au grand capital et à la société de consommation, lui au moins n’en veut pas à ton héritage pour refaire ses douze cent mètres carrés de toiture…
3- Dans tes fêtes de famille, tout le monde le trouve si « intéressant », limite « exotique et si drôle »… Dieu merci, tu n’es pas invitée aux siennes, ils sont athées ou agnostiques et tu n’as pas besoin de te taper les nombreuses communions ou baptêmes… de toutes façons ils sont tous brouillés entre eux, depuis que la gauche est divisée…
4- Pendant qu’il est aux manifs, tu peux faire du shopping, de toute façons, point de risque de le croiser avenue Montaigne.
5- Quand tu veux te libérer, tu dis que tu vas à la messe, scouts, chorale, bonne œuvres avec ta mère…
6- …
Bon, le sujet ne m’inspire décidément pas plus que ca. Je crois qu’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais couché avec « un mec de gauche »… Que des « mecs de droite ». Au pire avec des parents de gauche. J’en ai d’ailleurs épousé un… muni d’une mère de gauche. Mais elle se soigne. Ou plutôt, on la soigne…
A part ca, les préparatifs de transhumance devraient aller bon train. Je dis bien devraient, car mon inertie caractérisée n’est que le reflet de mon manque d’entrain à retourner à la civilisation. J’ai de plus au moins cinq visites à faire avant de partir, ce qui m’en fait plus d’une par jour, chose qui est difficilement gérable par mon neurone engourdi…
Sur ce, je vais attendre que ma connexion internet daigne marcher (elle est encore plus flemmarde que moi en ce moment) afin de poster ce billet fourre-tout.
















Pour la couleur, c’est un peu surprenant, je ne m’attendais pas du tout à quelque chose d’aussi contrasté, mais ayant posé l’enduit à la sauvage, la cire ne pouvait que refléter mon travail… de sagouin !
En fait, ca fait au moins deux ans que je voulais expérimenter la cire sur les murs. Voilà qui est fait. Au final, c’est très rapide et facile à poser, et les possibilités sont nombreuses…Cela dit, je trouve ca très bien pour Mes Vieilles Pierres, je ne le ferais probablement pas sur les murs d’une maison neuve… (Chéri, je sais je tu souffles de soulagement !)
Donc voilà.
Mission de l’été accomplie. (j’ai pour objectif, une « pièce » par an)
J’ai toute une année pour réfléchir à mon prochain chantier… Seul soucis, bien sûr, je commence toujours par les chantiers les plus simples, les plus accessibles… et ceux qui restent sont les plus lourds, qui deviennent de plus de plus en plus lourds.
Pour l’an prochain, il faudrait que je m’attaque à la chambre Rose. Cinq mètres sous plafond et celui-ci qui s’effrite dans un coin grandissant…
Si non, j’ai expliqué à mon grand, que parfois les mamans ne font pas exprès de s’énerver, c’est un peu comme les enfants qui ne font pas exprès de faire des bêtises…
Je commence à être fatiguée de mes vacances en solo. Vivement l’arrivée de leur père (pour l’autorité masculine, ô combien plus crédible que les hurlements hystériques d’une mère fatiguée), ainsi que de mes parents… pour le relais… merci maman !