Aujourd’hui il fait beau. Comme un soleil sous chape. Le lave-vaisselle clapote, le c&t est parti bosser. Les enfants se sont déjà entretués. Nous avons hurlé pour finalement nous engueuler entre nous. Le grand a pleuré, le petit a nargué. Eux se sont réconciliés, nous, nous sommes restés fâchés.
Moi, comme une idiote, je me suis mise à taper, les yeux qui picotent, la vue qui s'embue.
Trop de choses ces derniers jours, ces dernières semaines. Trop de choses que j’insère, que j’enfouis au-dedans. Trop de choses que je n’arrive même plus à extérioriser.
Alors, ce matin, je pense à la dignité des japonais, j’admire, et je me relativise.
va falloir que ça sorte sinon tu vas t'en rendre malade!!!!!
RépondreSupprimerrelativiser c'est bien; c'est vrai qu'il y a un décalage entre nos souffrances, nos difficultés et celles que subissent d'autres personnes. Mais elles sont là et il faut les gérer au mieux. Alors oui, Anoushka a raison, en parler quand le coup de gueule ou le coup de cafard s'est un peu éloigné... Courage ma belle, demain est un autre jour et il semble plein de promesses...
RépondreSupprimer(hum, je me fais l'effet d'une psy l'espace d'un très court instant. Toutes mes excuses...)
Je me plaignais de ne pas avoir de souliers... jusqu'à ce que je rencontre quelqu'un qui n'avait pas de pieds!
RépondreSupprimerAccent Grave