Puis-je, deux minutes faire ma mère indigne ?
Celle qui trop heureuse de déposer ses enfants à l’école ce matin a filé à la capitale du monde avec sa génitrice, encore plus victime que fashion afin d’arpenter un quartier de haute perdition…
Ce matin, rentrée de la victime au Temple de la mode… et mise à jour de la must-have-list de l’automne … Un legging en cuir s’impose… seul mon cœur balance entre celui de Sandro, ou celui de Zadig… à moins que je ne me rabatte sur celui de Pimkie dont le prix est certainement plus en accord avec la durée de cette mode Lara Croftienne… Et puis des bottes, des cuissardes. Et peut être des motardes, aussi (qui a dit que j’en avais déjà au moins deux paires ?), et un truc à paillettes, ou a sequins…
Dans le temple de la perdition (Le Bon Marché, bien sûr, pour ceux qui ne suivent pas) J’ai l’estomac noué. Deux mois à la campagne, et voilà que tout me fait envie… !
Bilan ? très positif quand même. Surtout pour mon banquier. Car seule maman a fait fonctionner le commerce.
Pour ma part, je repère, je réfléchis, je réfléchis, je réfléchis… et la plupart du temps, mes envies restent au simple état de réflexion.
Je retournerai faire un tour au Temple la semaine prochaine, en solo. Car pour moi, le shopping reste un plaisir qui ne se partage pas.
A part ca, les enfants sont bien rentrés. (Quelle phrase stupide, comme si on pouvait « mal » rentrer. Ca ne veut rien dire !). Le Grand a la maîtresse que je voulais et a les camarades qui me plaisent… Je sais, ca fait très Général Sud-Américain de dire ça, mais toutes les fréquentations ne sont pas équivalentes… Même à cinq ans. Quant au Petit, il est dans une classe bi-niveau, avec aucun de ses copains…
Auraient-ils isolé l’élément perturbateur ? Ca y ressemble, c’est pas moi qui vais m’en plaindre.
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