À l’instar de celui qui chantait « je voudrais être noir », je pourrais dire « je voudrais être une vache ! » et me repaître de toute cette tendre verdure à mes pieds…
C’est vert.
C’est ce qui frappe le plus en arrivant : cette herbe chlorophylle. La lumière s’y reflète, éblouit.
Retour à la campagne, le temps des vacances. Il fait beau, les enfants n’ont pas tardé à ressortir tout ce qui roule et tournent avec tels d’infatigables derviches tourneurs. Le sable crisse sous les pneus des véhicules : vélos tracteurs, remorques, jeeps, motos…
Indifférente à cette nouvelle agitation, l’herbe pousse, les bourgeons grossissent, la nature, sous jacente est prête à s’épanouir, prête à exploser, dans à peine quelques jours…
Cette période transitoire emplie de promesses, j'adore!
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